Michelle Paterok : Quiet Light.

Mon intérêt pour la capacité de la peinture à représenter les expériences subjectives est le fondement de ma pratique en studio. Mon travail actuel repose sur les questions suivantes : Comment l'espace est-il vécu subjectivement, et comment ces expériences sont-elles reconstruites dans nos souvenirs ? Comment le passage du temps pourrait-il être exprimé dans le cadre statique d'une peinture ? Enfin, quel rôle la peinture pourrait-elle jouer dans la prise en compte des urgences environnementales du moment présent ? Avec cela à l'esprit, j'utilise le médium pour explorer la poésie des petits gestes et rencontres de la vie quotidienne.